Un nouveau monde vient d'éclore, et c'est là que je veux t'emmener...
Une nouvelle vie à vue le jour, et c'est elle que je veux te donner...
Un nouveau cœur m'anime, et je veux te le donner...
Tout les deux, assis, là, seuls...Face au soleil, face au monde...
Il n'y a plus que nous deux...Toi + Moi... Nous...
Un sourire se dessine sur tes lèvres, mon dieu ! J'en mangerais !
Mais où sommes nous?
Je dois rêver...Ici, pas de méchanceté, pas de jalousie, pas de haine...
Non, c'est impossible, nous n...
Chapitre 4 :
L’anglais était mon point fort. Les langues, d’une manière générale, faisait ma fierté. Viens ensuite les sciences économiques et sociales, qui me permet d’analyser l’homme et sa société. Une matière que j’adore et dans laquelle j’excelle. L’histoire-Géographie par contre est l’un de mes points faibles : je ne retiens jamais les dates, confond les croquis entre eux…Les mathématiques représentent enfin ma bête noire : trop rigide, trop strict, trop incompréhensible. Une seule série de...
Je pensais avoir le monde
En grandissant j'ai compris
Que tout étais si immonde
Oublié mes rêves, j'ai appris
Je croyais au bonheur
Sans croire aux peurs
Tout était si beau,
si joli,
Puis j'ai su voir les plis
Et j'ai découvert le faux
Alors j'ai compris
Que tout m'était pris
Oublié le bonheur
Faire face à ces peurs
La peur des autres
La peur d'apprendre
La peur de vivre
Puis les mots sont sortis
Dépression et phobies
Tout s'écroulait alors
Il fallait rester fort..
Je suis morte. Pas physiquement non, je suis bel et bien là, mais vide. Je ne suis pas non-plus en état de «mort cérébrale» non je continu de penser. Oui je pense, je ne fais que ça. Mais je ne ressens rien. Je suis en état de mort sentimentale. Je suis un tube au travers duquel glisse la matière vivre n'a plus de sens mais je ne suis pas non plus malheureuse. Mon âme est un désert. Pourtant les larmes coulent. Peut-être mon corps a-t-il un dernier soubresaut de survie. Je me sens perdue désorma...
«…ne reposes pas tous tes espoirs sur moi…»
L’une des phrases les plus importantes de tout ce qu’il m’avait dit lorsque je lui ai avoué que je l’aimais. Mais Cette phrase-là, je ne l’ai pas entendu. Ou plus exactement, je ne l’ai pas écouté, je n’ai pas voulu l’entendre. Car j’avais de l’espoir. Un espoir immense et la certitude que tout allait bien se passer entre nous. J’avais besoin de cette certitude qui me faisait sentir si bien. J’avais la conviction de pouvoir réussir cette épreuve.
La conv...