Depistage !
#1
24/08/2010 à 17:15
Depistage !
Je voudrais savoir un petit truc car je suis un peu anxieux... Au niveau des dépistages comment ça se passe ? Où faut-il aller ? Comment est fait le dépistage ? Anonyme ou sur accord des parents ? Merci
La vie est une longue marche semée d'embuches... Pourquoi ne pas voler alors ?
#2
24/08/2010 à 17:24
Alors tu a deux choix :
- Dans un centre de depistage anonyme et gratuit.
Il faut appeler pour prendre rendez-vous, ça peut être dans un CHU ou dans un centre.
Ca se passe en général comme ça : on te file une fiche à remplir, t'a un rendez-vous avec un médecin, on te fait une prise de sang et voilà, tu reviens chercher tes résultats ensuite.
Les avantages :
- Totalement gratuit, pas besoin d'avancer l'argent
- Anonyme
- Suivit ni message de prévention.
Les inconvénients :
- Horaires pas flexibles (souvent fermé le samedi)
- Seulement sur rendez-vous (peu d'attente)
- Résultat souvent sous 7 - 10 jours.
- Dans une clinique privée.
Là il faut d'abord aller chez le médecin, qui te fera une ordonnance.
Il faut donc avancer les frais du médecin et de la prise de sang, c'est rembourser par la sécu mais si tu es mineur tes parents vont être au courant.
Les inconvénients :
- Il faut avancer l'argent.
- Seulement trois remboursement par la sécu par an.
- Pas anonyme
- Aucun suivit ni message de prévention.
Les avantages :
- Horaires flexibles (souvent dès 6h)
- Souvent sans rendez-vous (peu d'attente)
- Résultat souvent sous 2 - 3 jours.
Bon courage
- Dans un centre de depistage anonyme et gratuit.
Il faut appeler pour prendre rendez-vous, ça peut être dans un CHU ou dans un centre.
Ca se passe en général comme ça : on te file une fiche à remplir, t'a un rendez-vous avec un médecin, on te fait une prise de sang et voilà, tu reviens chercher tes résultats ensuite.
Les avantages :
- Totalement gratuit, pas besoin d'avancer l'argent
- Anonyme
- Suivit ni message de prévention.
Les inconvénients :
- Horaires pas flexibles (souvent fermé le samedi)
- Seulement sur rendez-vous (peu d'attente)
- Résultat souvent sous 7 - 10 jours.
- Dans une clinique privée.
Là il faut d'abord aller chez le médecin, qui te fera une ordonnance.
Il faut donc avancer les frais du médecin et de la prise de sang, c'est rembourser par la sécu mais si tu es mineur tes parents vont être au courant.
Les inconvénients :
- Il faut avancer l'argent.
- Seulement trois remboursement par la sécu par an.
- Pas anonyme
- Aucun suivit ni message de prévention.
Les avantages :
- Horaires flexibles (souvent dès 6h)
- Souvent sans rendez-vous (peu d'attente)
- Résultat souvent sous 2 - 3 jours.
Bon courage
Yoshi
#4
24/08/2010 à 19:49
Yoshi, il n'est pas (toujours ?) nécessaire de prendre rendez-vous pour les CIDAG (centres d'information et de dépistage anonyme et gratuit). En tout cas, à Lyon, ce n'est pas sur rendez-vous !
#5
24/08/2010 à 21:40
Idem à Lille, on peut aller au CIDAG sans rendez-vous. A savoir aussi qu'un nouveau dépistage fait lentement son apparition. Une simple petite goutte de sang prélevée au bout du doigt et trente minutes (en théorie) suffisent. Ça peut se faire chez Aides. Là aussi c'est gratuit, mais réservé aux majeurs, et disponible seulement à Bordeaux, Lille, Paris, Nice, Montpellier et Marseille, à des horaires particulièrement restreints... Mais bon, c'est encore en phase expérimentale (le test est fiable mais il y a des tas d'enquêtes pour savoir qui le fait, avec des questionnaires anonymes mais longs), et c'est amené à s'étendre par la suite. Ce que je trouve le plus intéressant, c'est qu'il n'y a pas de grosse aiguille et de tubes de sang à remplir ^^ et c'est rapide (les résultats en 30 minutes) et c'est pas dans un cadre médical.
#7
25/08/2010 à 15:46
Citer:
Alors tu a deux choix :
- Dans un centre de depistage anonyme et gratuit.
Il faut appeler pour prendre rendez-vous, ça peut être dans un CHU ou dans un centre.
Ca se passe en général comme ça : on te file une fiche à remplir, t'a un rendez-vous avec un médecin, on te fait une prise de sang et voilà, tu reviens chercher tes résultats ensuite.
Les avantages :
- Totalement gratuit, pas besoin d'avancer l'argent
- Anonyme
- Suivit ni message de prévention.
Les inconvénients :
- Horaires pas flexibles (souvent fermé le samedi)
- Seulement sur rendez-vous (peu d'attente)
- Résultat souvent sous 7 - 10 jours.
- Dans une clinique privée.
Là il faut d'abord aller chez le médecin, qui te fera une ordonnance.
Il faut donc avancer les frais du médecin et de la prise de sang, c'est rembourser par la sécu mais si tu es mineur tes parents vont être au courant.
Les inconvénients :
- Il faut avancer l'argent.
- Seulement trois remboursement par la sécu par an.
- Pas anonyme
- Aucun suivit ni message de prévention.
Les avantages :
- Horaires flexibles (souvent dès 6h)
- Souvent sans rendez-vous (peu d'attente)
- Résultat souvent sous 2 - 3 jours.
Bon courage
Posté à l'origine par: Yoshi
Alors tu a deux choix :
- Dans un centre de depistage anonyme et gratuit.
Il faut appeler pour prendre rendez-vous, ça peut être dans un CHU ou dans un centre.
Ca se passe en général comme ça : on te file une fiche à remplir, t'a un rendez-vous avec un médecin, on te fait une prise de sang et voilà, tu reviens chercher tes résultats ensuite.
Les avantages :
- Totalement gratuit, pas besoin d'avancer l'argent
- Anonyme
- Suivit ni message de prévention.
Les inconvénients :
- Horaires pas flexibles (souvent fermé le samedi)
- Seulement sur rendez-vous (peu d'attente)
- Résultat souvent sous 7 - 10 jours.
- Dans une clinique privée.
Là il faut d'abord aller chez le médecin, qui te fera une ordonnance.
Il faut donc avancer les frais du médecin et de la prise de sang, c'est rembourser par la sécu mais si tu es mineur tes parents vont être au courant.
Les inconvénients :
- Il faut avancer l'argent.
- Seulement trois remboursement par la sécu par an.
- Pas anonyme
- Aucun suivit ni message de prévention.
Les avantages :
- Horaires flexibles (souvent dès 6h)
- Souvent sans rendez-vous (peu d'attente)
- Résultat souvent sous 2 - 3 jours.
Bon courage
Moi à chaqeu fois que j'ai été me dépister, j'ai jamais pris rendez vous...Tu y vas des l'ouverture...FIn certains, sont sans rendez vous.
Et si tu es mineur, tu peux aller au planning famillial! Enfin qu'est que je dis, tu peux aller au planning familial!
Il faut mieux vivre un jour comme un lion que 100 ans comme un mouton!
#8
26/08/2010 à 13:36
En effet, comme tu es mineur, je pense que le planning est une des meilleures solutions. Les gens y sont souvent adorables, et tu peux parler de tout sans le moindre tabou. Ca peut servir si tu as des questions autres que concernant le dépistage.
Ils te poseront peut-être quelques questions sur ta vie (notamment sexuelle).
Bref si tu as envie de causer un peu plus, de prévention, de pratiques, de je-ne-sais-quoi ; c'est l'endroit qu'il te faut
Ils te poseront peut-être quelques questions sur ta vie (notamment sexuelle).
Bref si tu as envie de causer un peu plus, de prévention, de pratiques, de je-ne-sais-quoi ; c'est l'endroit qu'il te faut
#9
26/08/2010 à 21:51
Citer:
En effet, comme tu es mineur, je pense que le planning est une des meilleures solutions. Les gens y sont souvent adorables, et tu peux parler de tout sans le moindre tabou. Ca peut servir si tu as des questions autres que concernant le dépistage.
Ils te poseront peut-être quelques questions sur ta vie (notamment sexuelle).
Bref si tu as envie de causer un peu plus, de prévention, de pratiques, de je-ne-sais-quoi ; c'est l'endroit qu'il te faut
Posté à l'origine par: Golmote
En effet, comme tu es mineur, je pense que le planning est une des meilleures solutions. Les gens y sont souvent adorables, et tu peux parler de tout sans le moindre tabou. Ca peut servir si tu as des questions autres que concernant le dépistage.
Ils te poseront peut-être quelques questions sur ta vie (notamment sexuelle).
Bref si tu as envie de causer un peu plus, de prévention, de pratiques, de je-ne-sais-quoi ; c'est l'endroit qu'il te faut
Oui puis ne ment pas, dis toi qu'ils ont vus des cas pire que toi! Au pire, tu aura une leçon de moral, et un regard désaprobateur, mais c'est pour ton bien!
Il faut mieux vivre un jour comme un lion que 100 ans comme un mouton!
#13
27/08/2010 à 10:43
Si vous arrivez si nombreux vous risquez d'attendre des heures xD
#14
27/08/2010 à 11:45
Citer:
Justement, on aura le temps de papoter, ça favorise les rencontres <3.
Honnêtement ça peut se faire hein, le groupe qui se pose dans un parc à côté, et on fait des petits groupes qui y vont toute la journée °°.
Sinon, je trouve intéressant de vous faire partager un article paru dans le journal Transversal n°53 (juillet-août 2010, par Sidaction) sur le test rapide :
Citer:
Quatre ans après un avis positif au Conseil national du sida, le test rapide d'orientation diagnostique du VIH est enfin entré dans le droit commun. Mais l'arrêté limite le dispositif à quatre "situations d'urgence" dans un cadre strictement médical.
Son extension dépendra des résultats de trois essais menés avec le concours d'associations.
C'est une petite révolution dans le dispositif français du dépistage. Le 9 juin, l'arrêté fixant les nouvelles conditions de réalisation du diagnostic biologique de l'infection par le VIH est paru au Journal officiel. Pour la première fois, il reconnaît et autorise en dehors de la recherche biomédicale la réalisation du test rapide d'orientation diagnostique du VIH (Trod).
Évolutions. Première évolution : l'adoption du test dit "de quatrième génération". Ce dernier détecte à la fois les anticorps et l'antigène p24, permettant un dépistage plus précoce qu'avec le test Elisa. Le diagnostic de l'infection par le VIH-1 et le VIH-2 se fera, au sein des laboratoires de biologie médicale, avec un seul réactif au lieu de deux. Seconde évolution : le Trod sera mis en place dans les structures médicalisées, mais il pourra, précise le ministère, être "réalisé par les médecins exerçants en cabinet et dans les établissements ou les services de santé". Sur le fond, l'arrêté cantonne les tests rapides à "quatre situations d'urgence" : en cas d'accident d'exposition au sang, d'exposition sexuelle récente pour tester un partenaire afin de proposer un test postexposition, au cours d'un accouchement ou en cas d'urgence diagnostique "devant des symptômes évoquant un sida". Objectif : "Simplifier le dépistage de l'infection par le VIH et en élargir l'offre, conformément à l'un des principaux axes du prochain plan VIH-IST 2010-2014."
Pas de dépistage communautaire. La révolution s'arrête là. La nouvelle réglementation écarte provisoirement les TDR réalisés hors les murs et par du personnel non médical, expérimentés depuis novembre 2008 dans le strict cadre de la recherche biomédicale. Le premier programme, ANRS-COM'TEST, s'est achevé au 1er juillet. C'est un protocole de recherche associant ANRS et Aides, et réalisé directement par des acteurs associatifs auprès des hommes de 18 ans et plus ayant des relations sexuelles avec d'autres hommes (HSH), à Montpellier, Lille et Paris. Selon Aides, les premiers résultats de cette étude, qui a permis de réalisé près de 600 tests, auraient mis en lumière un nombre de tests positifs "près de dix fois supérieur à celui constaté dans les dispositifs de dépistage classique pour la même population". Problème : l'association espérait un texte réglementaire dès la fin du programme afin d'assurer la continuité du dépistage et éviter qu'il ne tombe dans "l'illégalité". Au cabinet de la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, on répond que "la prochaine étape consistera en l'analyse des données et la publication du rapport final", d'ici à la fin de l'année. L'ANRS évalue par ailleurs "la pertinence et le cas échéant les modalités de poursuite de cette recherche". Le message est clair : "La recherche biomédicale ne peut être prolongée qu'après obtention des autorisations nécessaires."
Le minstère attend également les conclusions de deux autres programmes menés en milieu gay : ANRS DRAG'TEST, non médicalisé, lancé en mars à Marseille et en juin à Paris, également avec Aides, et Checkpoint, un protocole médicalisé lancé en janvier par le Kiosque Info Sida Toxicomanie, prévu jusqu'en janvier 2012, dans le cadre duquel plus de 1000 dépistages ont déjà été réalisés*. "Nous espérons la sortie d'un texte réglementaire courant 2011 qui permettrait de pérenniser le dispositif et de le décliner auprès du plus grand nombre de publics cibles, notamment les migrants", indique Nicolas Derche, chef de service au Kiosque. Plus généralement, l'association espère qu'un décret "permettra de généraliser l'utilisation des TDR".
Le texte devrait voir le jour, mais quand? "Dès publication des résultats de ces recherches, ils seront analysés dans les plus brefs délais, assure le cabinet de Roselyne Bachelot. Parallèlement, les services du ministère analysent les modalités juridiques d'une extension de l'autorisation des tests rapides hors contexte d'urgence et hors du milieu médical."
* Dans le cadre de Checkpoint, les premiers résultats tirés des données recueillies seront présentés en septembre.
Posté à l'origine par: Transversal, par Vincent Michelon
Feu vert minimal pour le test rapideQuatre ans après un avis positif au Conseil national du sida, le test rapide d'orientation diagnostique du VIH est enfin entré dans le droit commun. Mais l'arrêté limite le dispositif à quatre "situations d'urgence" dans un cadre strictement médical.
Son extension dépendra des résultats de trois essais menés avec le concours d'associations.
C'est une petite révolution dans le dispositif français du dépistage. Le 9 juin, l'arrêté fixant les nouvelles conditions de réalisation du diagnostic biologique de l'infection par le VIH est paru au Journal officiel. Pour la première fois, il reconnaît et autorise en dehors de la recherche biomédicale la réalisation du test rapide d'orientation diagnostique du VIH (Trod).
Évolutions. Première évolution : l'adoption du test dit "de quatrième génération". Ce dernier détecte à la fois les anticorps et l'antigène p24, permettant un dépistage plus précoce qu'avec le test Elisa. Le diagnostic de l'infection par le VIH-1 et le VIH-2 se fera, au sein des laboratoires de biologie médicale, avec un seul réactif au lieu de deux. Seconde évolution : le Trod sera mis en place dans les structures médicalisées, mais il pourra, précise le ministère, être "réalisé par les médecins exerçants en cabinet et dans les établissements ou les services de santé". Sur le fond, l'arrêté cantonne les tests rapides à "quatre situations d'urgence" : en cas d'accident d'exposition au sang, d'exposition sexuelle récente pour tester un partenaire afin de proposer un test postexposition, au cours d'un accouchement ou en cas d'urgence diagnostique "devant des symptômes évoquant un sida". Objectif : "Simplifier le dépistage de l'infection par le VIH et en élargir l'offre, conformément à l'un des principaux axes du prochain plan VIH-IST 2010-2014."
Pas de dépistage communautaire. La révolution s'arrête là. La nouvelle réglementation écarte provisoirement les TDR réalisés hors les murs et par du personnel non médical, expérimentés depuis novembre 2008 dans le strict cadre de la recherche biomédicale. Le premier programme, ANRS-COM'TEST, s'est achevé au 1er juillet. C'est un protocole de recherche associant ANRS et Aides, et réalisé directement par des acteurs associatifs auprès des hommes de 18 ans et plus ayant des relations sexuelles avec d'autres hommes (HSH), à Montpellier, Lille et Paris. Selon Aides, les premiers résultats de cette étude, qui a permis de réalisé près de 600 tests, auraient mis en lumière un nombre de tests positifs "près de dix fois supérieur à celui constaté dans les dispositifs de dépistage classique pour la même population". Problème : l'association espérait un texte réglementaire dès la fin du programme afin d'assurer la continuité du dépistage et éviter qu'il ne tombe dans "l'illégalité". Au cabinet de la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, on répond que "la prochaine étape consistera en l'analyse des données et la publication du rapport final", d'ici à la fin de l'année. L'ANRS évalue par ailleurs "la pertinence et le cas échéant les modalités de poursuite de cette recherche". Le message est clair : "La recherche biomédicale ne peut être prolongée qu'après obtention des autorisations nécessaires."
Le minstère attend également les conclusions de deux autres programmes menés en milieu gay : ANRS DRAG'TEST, non médicalisé, lancé en mars à Marseille et en juin à Paris, également avec Aides, et Checkpoint, un protocole médicalisé lancé en janvier par le Kiosque Info Sida Toxicomanie, prévu jusqu'en janvier 2012, dans le cadre duquel plus de 1000 dépistages ont déjà été réalisés*. "Nous espérons la sortie d'un texte réglementaire courant 2011 qui permettrait de pérenniser le dispositif et de le décliner auprès du plus grand nombre de publics cibles, notamment les migrants", indique Nicolas Derche, chef de service au Kiosque. Plus généralement, l'association espère qu'un décret "permettra de généraliser l'utilisation des TDR".
Le texte devrait voir le jour, mais quand? "Dès publication des résultats de ces recherches, ils seront analysés dans les plus brefs délais, assure le cabinet de Roselyne Bachelot. Parallèlement, les services du ministère analysent les modalités juridiques d'une extension de l'autorisation des tests rapides hors contexte d'urgence et hors du milieu médical."
* Dans le cadre de Checkpoint, les premiers résultats tirés des données recueillies seront présentés en septembre.
Dernière mise à jour le 27/08/2010 à 11:46 par Peaksoul.
Les feuillets d'atmosphère : De la neige pour la semaine prochaine?
Actu météo, prévisions, explications et tuto pour en voir un peu plus qu'au-dessus de sa tête.
Actu météo, prévisions, explications et tuto pour en voir un peu plus qu'au-dessus de sa tête.
#15
7/01/2011 à 13:32
J'arrive après la guerre !
Sinon tu peux avec ou SANS ordonnance (prefere avec sinon vla le prix :x ) dans un laboratoire d'analyses, rien à avancer si tu as l'ordonnance et si tu y vas le matin tu as les résultats le soir même ou dans l'après midi au mieux !
( résultats souvent dispo par internet et/ou en allant les chercher directement au labo ) si tu as un num de secu social t'es parents ne seront pas au courant de ta démarche
et pour ceux qui se foutraient de moi (sisi on peux avoir son propre numéro de sécu en étant mineur )
Enjoy \o/
Sinon tu peux avec ou SANS ordonnance (prefere avec sinon vla le prix :x ) dans un laboratoire d'analyses, rien à avancer si tu as l'ordonnance et si tu y vas le matin tu as les résultats le soir même ou dans l'après midi au mieux !
( résultats souvent dispo par internet et/ou en allant les chercher directement au labo ) si tu as un num de secu social t'es parents ne seront pas au courant de ta démarche
et pour ceux qui se foutraient de moi (sisi on peux avoir son propre numéro de sécu en étant mineur )
Enjoy \o/
le monde est fou, et moi aussi !
Ikiru Andco on FB.
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