Tu es là, assis dans un coin de cette classe
À rêvasser en regardant les gens qui passent,
Ne te préoccupant pas du mal que tu fais
À celui qui par un triste malheur t'aimai.
Je t'avais tendu mon cœur en toute innocence
Et tu l'a détruit avec tant de violence
Que même de te voir est devenu un supplice
Qui m’entraîne dans de si profondes abysses.
Je crains de ne jamais trouver la délivrance
Qui me tirerai de cette immense souffrance
Changeant mon quotidien en véritable enfer.
Oh, toi que je n'arrive pas à oublier!
Je t'en pris, continu donc de me railler!
De toute façon c'est tout ce que tu sais faire!